La députée déplore un point de vue manichéen
Après l'attaque d'un randonneur par des chiens de protection près du Pic de Morgon le 5 octobre, la tension reste vive…
La députée des Hautes-Alpes a eu le malheur d'évoquer qu'elle avait, au printemps dernier, demandé par question écrite au gouvernement de l'époque une formation "renforcée des éleveurs et de leurs chiens, afin de prévenir les accidents tout en maintenant la protection indispensable des troupeaux".
Ses propos pourtant mesurés ont déclenché la colère des Jeunes Agriculteurs et de la FDSEA 05.
Sa conclusion : "Il faut prévenir les risques : permettre aux éleveurs de travailler et gagner leur vie et permettre aux randonneurs de se balader."
Nous ne pouvons qu'approuver une telle position !